Refuser les « artistes » qui réclament de vous du goût
et rencontrer ceux qui réclament de vous une émotion esthétique.
Il en est ainsi en art :
soit il domine par la séduction,
soit il domine par la soumission.
Sinon, à quoi bon ?
A quoi bon tourner d’une main diurne ou d’une main nocturne
les pages de ces gens, on dit aussi poètes,
qui ont orné les murs nus de ce triste monde ?
Ceux là se sont soumis à vous,
ils vous ont proposé leur vision particulière du tout
et plutôt que d’adapter à vous-même ce qu’ils ont écrit ou peint,
adaptez-vous à ce qu’exprime l’auteur.
C’est ainsi que l’art moderne doit être lu.
Sa dénationalisation vous apparaîtra,
art de tous les arts – complexité spontanée.